Bonjour à tous et merci de continuer à partager sur ce Blog, avec O’MULTICOLLECTIONNEUR, notre passion pour les collections… qui vous réserve toujours une bonne surprise à la fin de cet article
Nous allons aujourd’hui continuer avec la 2ème partie de la collection : le collectionneur “thématiste”, celui qui cherche “tout” sur un sujet précis. Et, pour cela, nous allons poursuivre avec le thème des félins en “faisant le tour”, non limitatif, des possibilités de recherche.
J’espère que vous avez eu plaisir à découvrir cette 2ème partie. Je vous donnerai d’autres idées de recherches dans notre prochain article.
Vous pouvez donner votre avis, nous faire part de vos remarques, de vos connaissances, … et nous permettre ainsi d’être plus complets.
Pour remercier celles et ceux qui vont laisser un commentaire pour que ce blog devienne un lieu de partage, nous offrirons une remise de 10% sur notre Boutique https://www.multi-collection.fr
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Nous allons aujourd’hui voir un autre aspect de la collection : le collectionneur “thématiste”, celui qui cherche “tout” sur un sujet précis. Et, pour cela, nous allons prendre un exemple, le thème des félins en “faisant le tour”, non limitatif, des possibilités de recherche.
J’espère que vous avez eu plaisir à découvrir ce nouvel aspect des collections. Je vous donnerai d’autres idées de recherches dans notre prochain article.
Vous pouvez donner votre avis, nous faire part de vos remarques, de vos connaissances, … et nous permettre ainsi d’être plus complets.
Pour remercier celles et ceux qui vont laisser un commentaire pour que ce blog devienne un lieu de partage, nous offrirons une remise de 10% sur notre Boutique https://www.multi-collection.fr
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Aujourd’hui, nous n’allons pas parler d’une collection particulière mais je vais vous proposer un petit jeu en 10 questions 🙄 .
Vous allez devoir trouver le nom donné aux collectionneurs de différents types d’objets. Les 3 premiers à donner les 10 bonnes réponses gagneront chacun une réduction de 10% sur toute la Boutique.
Vous êtes prêts ? Comment s’appelle un collectionneur de :
1. Cartes postales
2. Buvards
3. Timbres postaux
4. Monnaies
5. Porte clés
6. Disques
7. Plaques de muselets de champagne
8. Etiquettes de fromage
9. Oblitérations postales
10. Calendriers
Vous pouvez nous envoyer les réponses grâce à la rubrique “COMMENTAIRES” ci-dessous. Je ne vous ai pas mis de grosses difficultés (certaines réponses figurent même dans les articles déjà parus sur ce blog) 😛
Alors, que les meilleurs (et les plus rapides) gagnent….
Et, bien sûr, comme d’habitude vous pouvez donner votre avis, nous faire part de vos remarques, de vos connaissances, … et nous permettre ainsi d’être plus complets. Nous aurons l’occasion, pour changer des articles habituels, de vous proposer de nouveaux quiz.
Bonjour à tous et merci de continuer à partager sur ce Blog, avec O’MULTICOLLECTIONNEUR, notre passion pour les collections… qui vous réserve toujours une bonne surprise à la fin de cet article !
J’espère que vous avez eu plaisir à découvrir ou redécouvrir ce support publicitaire très riche. Je pourrais vous donner d’autres idées de thèmes à collectionner mais vous pouvez en découvrir en allant dans BUVARDS. Est-ce que ces articles vous ont donné envie de devenir, vous aussi, PAPIBEVEROPHILE ?
Vous pouvez donner votre avis, nous faire part de vos remarques, de vos connaissances, … et nous permettre ainsi d’être plus complets.
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A bientôt pour de nouvelles découvertes…. avec d’autres collections.
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Comment pouvez vous collectionner les buvards ? Bien sûr vous pouvez collectionner tous les buvards ou les inclure dans une autre collection, comme par exemple la “Classe ouverte” en philatélie (on en parlera quand nous traiterons de ce sujet) ou les buvards symboles d’un magasin ou d’une entreprise de votre ville….. Vous pouvez aussi les rechercher parce qu’ils sont un élément de votre thème favori, par exemple vous collectionnez tout ce qui se rapporte au chocolat ou à une marque de voiture ou à La Vache qui rit….
Voici donc quelques idées de collection par thèmes :
J’espère que vous découvrez ou redécouvrez avec plaisir ce support publicitaire très riche. Je vous donnerai de nouvelles idées de collection dans le prochain article, et peut-être aurez-vous envie de devenir, vous aussi, PAPIBEVEROPHILE ?
Vous pouvez donner votre avis, nous faire part de vos remarques, de vos connaissances, … et nous permettre ainsi d’être plus complets.
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Après avoir fait connaissance avec la collection de CARTES POSTALES puis celle des PORTE CLES, suivie des DISQUES, nous allons aborder une nouvelle collection. Etes-vous PAPIBEVEROPHILE ? Si oui, vous connaissez sans doute ce nom. Si ce mot est nouveau pour vous, vous allez découvrir cette collection qui permet d’associer les souvenirs (sauf si vous êtes encore très jeune 🙄 ), la publicité, l’esthétisme … et l’utilité. Il s’agit, bien sûr, DES BUVARDS.
1.1 HISTORIQUE
Le papier buvard serait né, à la fin du XIX ème siècle, suite à une erreur, celle d’un ouvrier qui aurait omis de mettre de la colle lors de la conception de la pâte à papier ordinaire. Les propriétés absorbantes du support ainsi créé auraient été immédiatement repérées et très vite appréciées par les utilisateurs de plumes. Le buvard s’est avéré très utile pour sécher l’excès d’encre déposé lors de l’écriture à la plume et a ainsi remplacé la poudre qui était saupoudrée auparavant.
Dans d’autres cas, les buvards pouvaient également servir de sous-mains pour protéger les feuilles des cahiers. Etant toujours placés devant les yeux des écoliers et de leurs parents, les buvards furent rapidement utilisés comme supports de publicités, qu’on appelait alors “réclames”.
2. LES BUVARDS PUBLICITAIRES
2.1 Les formats
Les buvards pouvaient avoir des tailles différentes, depuis les tout petits jusqu’aux grands formats, et même des formes très originales.
2.2 Les illustrations
De qualité graphique variable, certains sont simples, alors que certaines marques ont fait appel à des illustrateurs de renom. Mais tous sont le témoin de leur époque.
Simples
Les illustrateurs
Parmi les illustrateurs ayant mis leur talent au profit de ce support, on peut remarquer :
BAYLE Luc Marie :
CAPPIELLO Leonetto :
COQ (Luis Garcia Gallo)
DISNEY Walt :
DUBOUT Albert :
EFFEL Jean :
POULBOT Francisque :
RABIER Benjamin :
Bien sûr, nous n’utilisons plus les buvards comme à l’époque du porte-plume, mais ils demeurent un beau témoin d’une période, après tout pas si lointaine. Et vous pouvez découvrir, ou redécouvrir, ce support publicitaire. Je vous en dirai plus dans le prochain article, et peut-être aurez-vous envie de devenir, vous aussi, PAPIBEVEROPHILE ?
Vous pouvez donner votre avis, nous faire part de vos remarques, de vos connaissances, … et nous permettre ainsi d’être plus complets.
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Bonjour à tous. Nous avons commencé, dans les N° 9, 10 et 11 à mieux connaitre LES DISQUES : leur historique, le développement, l’arrivée et le déclin du numérique, le renouveau des vinyles, et nous avons passé en revue différents formats et les divers types de disques, notamment les disques originaux.
Continuons nos découvertes.
1 – LES INSCRIPTIONS SUR LES DISQUES
LE BIEM
Le BIEM est le Bureau International des Sociétés Gérant les Droits d’Enregistrement et de Reproduction Mécanique. Le BIEM a été fondé en 1929. A l’origine, il gérait le répertoire pour le compte de ses membres européens. Il délivre les autorisations pour la reproduction des chansons. En 1968, ces responsabilités ont été conférées à ses sociétés individuelles. La SACEM en fait partie.
La SACEM
La SACEM Société des Auteurs, Compositeurs et Editeurs de Musique a été fondée en 1850. Son rôle consiste à percevoir des droits sur les exécutions publiques d’une œuvre, ce qui permet à l’auteur d’être rémunéré pour toute utilisation de son ouvrage.
En 1970, suite aux transferts de responsabilités qui avaient eu lieu en 1968, il a été décidé que les droits ne seraient plus perçus par le BIEM mais par les sociétés qui y sont affiliées, la SACEM donc pour la France.
Il en résulte que la mention légale « BIEM » portée sur le rond central des disques est progressivement remplacée par la mention « SACEM ». Cette transition s’est effectuée entre les derniers mois de l’année 1970 et les premiers mois de l’année 1971.
La présence de ces mentions est donc un moyen de reconnaitre, en France, un pressage original d’une réédition :
– BIEM = années 60, jusque 1970 inclus – SACEM = depuis 1971 jusqu’à nos jours
2. LES ENNEMIS DE VOS DISQUES
2.1 Les rayures
2.2 Les températures trop fortes, notamment celles des rayons du soleil (vos disques vont se voiler), ou trop froides.
2.3 Les mauvaises conditions de rangement (risque notamment de disques voilés)
2.4 Les poussières : la structure du disque le rend très facilement électrisable à l’air, par électricité statique. La surface du disque attire toutes les particules de l’air ambiant.
2.5 Les marques de doigts.
Pensez que ce produit de haute précision ne dispose pas de protection étanche. C’est pourquoi le bon usage des disques réclame des précautions permanentes.
3. LES PRECAUTIONS A PRENDRE POUR BIEN CONSERVER VOS DISQUES
3.1 Respect de l’emballage
Un bon disque bénéficie d’une double protection : celle de l’enveloppe même du disque ( en papier fort ou papier cristal ou en matière plastique) et celle de la pochette illustrée extérieure. Lorsque deux ou trois disques font partie d’un même ensemble, les éditeurs adoptent la formule de l’album ; au delà c’est un coffret en carton qui protègera les disques.
Vous pouvez ajouter un étui de protection en plastique transparent qui préservera la pochette carton des frottements avec les autres vinyles et constituera un rempart supplémentaire contre la poussière, les taches et l’humidité.
3.2 Positionnement correct
Une fois le disque placé dans l’enveloppe intérieure, vous devez positionner cette enveloppe avec l’ouverture vers le haut dans la pochette carton afin d’éviter la chute du disque ou au contraire sa difficulté à sortir.
3.3 Protection contre les poussières
Un bon emballage, comme expliqué ci-dessus, présente aussi une protection efficace contre les poussières. Le disque doit être sorti au moment de sa lecture et rangé immédiatement après.
Il est également préférable de fermer le capot de protection du tourne-disque pendant la lecture pour éviter l’empoussiérage.
3.3 Les manipulations
Il est préférable de manipuler vos disques “avec douceur” pour éviter les rayures dues à un coup d’ongle malencontreux, au frottement d’une bague, à un choc lors de la dépose sur le plateau… qui ne doit pas être en mouvement….
Pendant les manipulations, évitez tout contact du disque avec les doigts. On doit toujours tenir le disque par les bords ou/et par le centre et jamais à pleines mains.
3.4 Dépoussiérage du disque
Outre les grésillements qu’elle produit lors de la lecture du disque, la poussière dans le sillon peut aussi provoquer une érosion de ce dernier. Les poussières peuvent également s’accumuler autour de la pointe de lecture ce qui se traduit par des distorsions.
Il existe des tampons dépoussiéreurs qui peuvent être légèrement imbibés d’eau distillée. On peut aussi utiliser un chiffon très doux (du genre chamoisine).
3.5 Nettoyage des disques sales
Utilisez par exemple une solution d’alcool éthylique ou isopropylique : imbibez un chiffon doux et non pelucheux, nettoyez d’abord les particules plus superficielles sans appuyer puis insistez sur les taches grasses visibles. Rincez ensuite très soigneusement à l’eau distillée. Enfin essuyez à l’aide d’une chamoisine.
Les disques 78 tours peuvent être nettoyés en utilisant de l’eau distillée et un peu de savon naturel. Rincez et essuyez.
3.6 Le rangement
Afin d’éviter que les disques, minces et souples, se voilent en les rangeant verticalement, vous les placerez les uns contre les autres, assez serrés, mais pas trop pour ne pas exercer une pression nuisible à la bonne conservation.
Si vous préférez un classement horizontal, il ne faudra empiler qu’un petit nombre de disques à la fois afin de ne pas endommager ceux du bas de la pile sous l’excès de poids. Les coffrets, dans lesquels les disques sont protégés, supportent bien le rangement horizontal.
Bien sûr, tenez compte du diamètre de vos disques quand vous les rangez. Ne mélangez pas les 17 cm et les 30 cm…
3.7 Le classement
Rapidement, la nécessité de classer vos disques de façon méthodique va s’imposer. Quelques idées :
– Classement alphabétique par auteurs
– Classement par interprètes
– Classement chronologique
– Classement par genres…
A vous de trouver la méthode qui convient le mieux à votre collection. Chacune ayant ses avantages… et ses inconvénients.
Nous allons abandonner, au moins provisoirement le domaine de la musique, pour découvrir, lors de notre prochaine rencontre, une collection que nous n’avons pas encore évoquée….
Comme d’habitude, vous pouvez donner votre avis, nous faire part de vos remarques, de vos connaissances, … et nous permettre ainsi d’être plus complets.
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Bonjour à tous. Nous avons commencé, dans les N° 9 et N° 10, à mieux connaitre LES DISQUES : leur historique, le développement, l’arrivée et le déclin du numérique, le renouveau des vinyles, et nous avons passé en revue différents formats et les divers types de disques.
Continuons nos découvertes.
LES “ORIGINAUX”
Les disques de couleur qui peuvent être de divers formats et qui, au lieu d’être noirs, sont teintés d’une autre couleur (rouge, orange, blanc, …).
Les Picture-discs qui peuvent être de divers formats et qui, comme leur nom l’indique, ont une image gravée dans le disque.
Les Cartes postales musicales, plus grandes que les cartes traditionnelles, avec un petit trou central pour être placées sur un électrophone. Diffusées dans les années 60, elles permettaient d’écouter une musique qui pouvait être en rapport avec le thème de la carte.
Les Flexidiscs ou disques souples en plastique avec des formats et des vitesses différentes. Ce sont souvent des disques publicitaires gravés sur une seule face.
En 1958 paraît le premier numéro d’un magazine tout à fait nouveau : Sonoramaqui utilise des disques souples pour diffuser l’actualité dans des domaines variés comme la politique, la musique, les arts, … Sonorama proposait donc des documents sonores correspondant aux différents articles. Ces disques souples (flexidiscs) très fins avaient les dimensions d’un vinyle 45 tours mais tournaient en 33 tours.
Assez cher, Sonorama cessera d’être diffusé en 1962 après 42 numéros.
Nous parlerons la prochaine fois d’inscriptions importantes sur les disques , de leurs ennemis, des précautions à prendre pour bien les conserver …
Comme d’habitude, vous pouvez donner votre avis, nous faire part de vos remarques, de vos connaissances, … et nous permettre ainsi d’être plus complets.
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Bonjour à tous. Nous avons commencé, dans le N° 9, à mieux connaitre LES DISQUES : leur historique, le développement, l’arrivée et le déclin du numérique, le renouveau des vinyles.
Nous allons, cette fois, passer en revue les différents formats et les divers types de disques.
1.1 LES FORMATS 16 TOURS
Les disques tournaient à 16 tours 2/3 par minute. Ils ont essentiellement servi pour l’enregistrement de textes parlés et de musique de danse. Ils permettaient une plus longue écoute du disque mais perdaient en qualité sonore dans les aiguës.
Sortis en 1957, ils ont été fabriqués en trois diamètres : 17, 25 et 30 cm. Devant le manque de qualité de ces disques, le succès commercial n’a pas été au rendez-vous.
1.2 LES FORMATS 78 TOURS
Ces disques, généralement, assez épais donc lourds, tournaient à 78 tours par minute. Ils ont été le principal support d’enregistrement dans la première moitié du XX ème siècle. Ils sont recouverts de gomme laque noire.
Ils ont d’abord été lus sur des gramophones puis sur des tourne-disques électriques.
On pouvait trouver :
Des 78 tours 15cm.
Des 78 tours 19 cm
Des 78 tours 25 cm
Des 78 tours 30 cm
En 1948, Columbia invente le microsillon en vinyle qui viendra détrôner le 78 tours.
C’est à cette époque qu’on commence à parler de 78 tours, pour les distinguer des formes de disques plus modernes, dits 33 tours et 45 tours.
1.3 LES FORMATS 33 TOURS
33 tours 1/3 par minute, 30 cm de diamètre ou LP (Long Playing) comportant environ une douzaine de chansons.
33 tours 1/3 par minute 25 cm d’environ 8 chansons ; diffusé jusqu’en 1965 (à ne pas confondre avec les 78 tours de même diamètre).
33 tours 17 cm comportant environ 6 chansons : à ne pas confondre avec les super 45 tours de même diamètre (gros trou central).
33 tours 15 cm “Micro disque” de Barclay Atlantic ou “Disque de poche” qui fut un échec.
1.4 LES FORMATS 45 TOURS
45 tours 17 cm de diamètre ou EP (Extended Play) également nommé “Super 45 tours” et comportant généralement 4 titres. Il a été diffusé dans les années 1950-1960.
45 tours 17 cm ou SP (Single Play) comportant souvent 2 chansons. Dans les années soixante, ils étaient essentiellement destinés aux juke-box.
A la fin des années 60, ils se généralisèrent et remplacèrent le super 45 tours.
45 tours 30 cm ou “Maxi 45 tours” comportant un titre par face. Avec l’arrivée de la musique disco en France, au début des années 70, ce format était utilisé par les disc-jockeys. La vente à tout public a démarré en 1976.
Nous aurons l’occasion, la prochaine fois de parler de disques originaux, de se familiariser avec le vocabulaire spécifique, et bien d’autres sujets…
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Bonne Fêtes de fin d’année à tous et à bientôt pour de nouvelles découvertes.
Après avoir fait connaissance avec la collection de CARTES POSTALES puis celle des PORTE CLES, nous allons aujourd’hui parler des DISQUES, car les DISCOPHILES (amateurs, collectionneur de disques) sont nombreux.
1.1 HISTORIQUE
Le premier quart du XXème siècle (de 1898 à 1925) voit la naissance et le développement industriel du disque enregistré acoustiquement.
Dans le second quart du siècle (1925 – 1950) grâce au développement des électrophones à amplificateur électronique, le disque à sillon standard (78 tours parce qu’il tourne à 78 tours par minute) voit ses performances s’accroître.
Le microsillon ou vinyle plus léger, de meilleure qualité sonore et de plus longue durée d’écoute fut le principal support d’enregistrement sonore pendant la deuxième moitié du XX ème siècle
1.2 DEVELOPPEMENT
En 1946, la Columbia Records dépose un brevet pour un disque en polychlorure de vinyle, une matière plastique thermoformable. La vitesse de rotation a été réduite à 33 tours 1/3 par minute. On le dit “Long Play” (LP).
RCA lance le single tournant à 45 tours/mn avec un large trou central en 1949.
En France, c’est Pathé Marconi qui, en 1951, presse le premier disque microsillon.
A partir de 1958, les disques stéréophoniques vinrent compléter l’amélioration du procédé.
1.3 LE NUMERIQUE
A partir du milieu des années 80, la production des vinyles décroit avec l’apparition, sur le marché, du DISQUE COMPACT (CD) lancé par Philips en 1983.
Mais, depuis les années 2000, le vinyle connait un renouveau. Les ventes de vinyles augmentent et celle des CD diminue.
Nous aurons l’occasion, dans le prochain article, de revenir plus en détail sur ce sujet de collection.
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